du bout des doigts à poil échanger avec les amants un lundi gris dans la fenêtre le ciel orange averse
montre-moi tes seins
belle photo de ta queue
j'écris fesses nues
je relis vos messages
chaude je capte ma vulve éclose
écarlate de désir en réponse
je lèche ta chatte — et je prends tes seins lourds dans mes mains quand tu te penches pour écrire
le désir bande et file des étoiles dans les yeux des constellations sur mes draps des planètes éjaculent les fontaines dans vos bras mes hommages
note : je dois une photo à Ed, qui n’est pas l’amant de passage, http://hardcorettes.com
post-scriptum: autoportrait pris après votre passage
Texte chaud, très… Et (au-dessus de la photo, en post-scriptum), il est bien chanceux, celui du passage!
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🙂
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Merci Jean-Marc.
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Tres chaud, chaleureux.
Ed is lucky! 😉 Might send him a picture too……
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Ed is not l’amant de passage 😉 Mais si je lui envoie une photo, oui il sera lucky !
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J’ai été sur son site et j’ai vu …..les photos 😉
Et oui avec ta photo, il sera tres lucky!
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Amazing » Jouihanne » …!!!
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Thanks 😉
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Texte magnifiq
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Mer
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ue !
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ci !
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Paris sous la voute
Nages sur les lignes
Brassées entre toutes
Les amantes ou l’amante
Celle qui saura
S’ouvrir pantelante
Et moi je ruisselle
j’amasse le sable
et les grains s’amoncellent
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Je n’aime pas ces rimes. Elles ne rendent rien. Rien de toutes ces âmes qui s’offrent entre les lignes et s’effeuillent des mots consentis. Le grand ciel bleu et la peine grisonnante de n’être que peu inspiré par l’obligation. Je préfère les écoles buissonnières, elles obligent tout autant mais elles le font si naturellement que les mots ruissellent sous mes doigts pour dire comment nous dessineront des ronds dans l’eau qui coule. Ces cercles qui nous ramènent sans cesse aux mots crus que nos peaux quémandent. Car des tatouages il en est des invisibles qui se nourrissent des battements de nos pensées lumineuses, les plus sombres et belles d’entre toutes.
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Je préfère ce mot que votre précédent qui est quand même pas si mal.
Merci et soyez le bienvenu ici.
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